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Nathalie BATISSE

AMBERT

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En résumé

Comme il existe des jardiniers paysagistes spécialistes de la dimension paysagère de ce métier, j'ai inventé les termes de jardinière ethnobotaniste pour désigner une nouvelle spécialité, intégrant au regard et au travail du jardinier des points de vue historiques, sociologiques,... humains. Je m'intéresse aux relations qui existent entre les hommes et la flore pour parler de paysage de proximité, de pratiques ancestrales, d'usage d'un lieu.

Entreprises

  • Le jardin de mémoire - Jardinière-ethnobotaniste

    2000 - maintenant Nathalie BATISSE, jardinière-ethnobotaniste

    Comme il existe des jardiniers paysagistes spécialistes de la dimension paysagère de ce métier, Nathalie Batisse a inventé les termes de jardinière ethnobotaniste pour désigner une nouvelle spécialité, intégrant au regard et au travail du jardinier des points de vue historiques, sociologiques,... humains. Elle s'intéresse aux relations qui existent entre les hommes et la flore pour nous parler de paysage de proximité, de pratiques ancestrales, d'usage d'un lieu.

    Notamment :
    Elle a participé à l'atelier des paysages de la vallée de l'Ance en travaillant avec les habitants à la valorisation de la flore traditionnelle des jardins et des pratiques liées aux poirières. (Communauté de communes de la Vallée de l’Ance —Ref Nicolas Taillandier—, PNR LF —Ref Alexis Pernet— )

    Elle anime régulièrement des sorties ou conférences sur la valeur culturelle ou historique du végétal (Pays d’Art et d’Histoire du Forez, Associations, Universités Inter-Âges de la Haute Auvergne, Conseil Général de la Haute-Loire….) et des « Ateliers de fleurissement citoyen » mettent en pratique, avec les habitants, la valorisation des flores vernaculaires.

    Formée aux technologies végétales, elle a une pratique concrète du jardinage en gérant la restauration et l’entretien conservatoire des jardins du château des Martinanches à Saint-Dier d’Auvergne (63) : inventaire floristique, recherches historiques, entretien.

    Elle a collaboré à l’élaboration du Plan d’Aménagement du Bourg de Saint-Jean-des-Ollières, en rejoignant l’équipe d’Hugo Receveur (cabinet la Motrice Billom), pour intégrer la flore vernaculaire et sa gestion à la réflexion urbanistique. (Commune de Saint-Jean des Ollières 63).

    Elle participe à l'élaboration de l'Atlas pratique des paysages d'Auvergne (DREAL Auvergne).

    Elle travaille sur le plan de fleurissement de la Communauté de communes du Langeadois (Haute-Loire), en collaboration avec Jeke Lancrenon, paysagiste, et Thibaul Racault, urbaniste.

Formations

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